La cité sans mémoire (1998) |
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Bifrost n° 9, juillet 1998:
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Alors qu'il est pris en chasse par un destroyer martien pirate, le vaisseau
de commerce Tam-Habulla, vaisseau proximien en mission d'escorte pour un
dignitaire de la Planète de la Guerre, Monkcheh, s'échoue sur une cité
gigantesque, une cité morte, dérivant dans l'espace. Mais cette cité
tentaculaire recèle encore des secrets, des forces survivantes qui cherchent à
s'assurer la suprématie de la cité moribonde. La cité sans mémoire est un roman qui brode sur le thème des civilisations
disparues avec assez d'originalité, offrant un décor titanesque, la cité, qui se
prête tout à fait à un scénario d'Armaggeddon entre puissances surhumaines. C'est un bon roman de SF, qui s'adapterait très bien en fin de campagne pour l'Ultime rencontre entre les tenants des Forces. © Le Telmus, le 31 Octobre 2001 |
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Les images familières, rapportées par la
sonde Viking 1, apparurent sur l'écran, puis le film se poursuivit au-delà de ce
que connaissait le public : une marque noire qui s'étire et disparaît, revient,
s'allonge, une Ombre. Critique: http://www.quarante-deux.org/kws/23/ombre.html Bifrost n° 5, mai 1997: Critique par David Sicé |
Rédacteur en chef du service traduction de Courrier International, Raymond Clarinard est aussi un auteur de science-fiction. Il a écrit La Cité sans mémoire (1998) et avec Mikaël Ollivier, L'Ombre de Mars (1997). Après quelques années d'absence dans le milieu de la SF, il revient en 2004 avec Le Rêveur Orbital. |
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